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 MÀTHYLNE ⚡ i can't be fixed

H. Màthylne Lehane
Bitch Admin ♠ I am broken
H. Màthylne Lehane
bitch, please
● Pieux : 759
● Race : Tueuse de vampire
● Age : 24 ans
● Look like : Nina Dobrev
MessageMÀTHYLNE ⚡ i can't be fixed EmptyDim 27 Nov - 21:09



haylee màthylne lehane
⚡ ft nina god dobrev
Ϟ DATE & LIEU DE NAISSANCE ; 17 octobre 2006, cleveland
Ϟ JOB ; étudiante
Ϟ STATUT ; célibataire
Ϟ GROUPE ; tueuse de vampires.
Ϟ CRÉDIT ; silverfox

Ϟ DANS QUEL CAMP ÊTES VOUS ? celui du bien, la plupart du temps.
Ϟ AVEZ VOUS DES POUVOIRS ? j'ai les pouvoirs d'une tueuse de vampire : force, rapidité, rêve prémonitoire, agilité.
Ϟ QUE PENSEZ VOUS DU MONDE MAGIQUE ? j'aurais préférée qu'il n'existe pas, la vie aurait été plus simple, mais bon, je fais avec maintenant..
Ϟ VOS FAIBLESSES ? je suis impatiente, et impulsive, incapable de réfléchir avant d'agir et de parler. et ça me joue beaucoup de tour.
Ϟ VOS FORCES ? mes pouvoirs sont mon plus grand atout.


Moi c'est Alex, ou alors Backseat. J'ai 17 ans, et je l'ai trouvé en le fondant (a). Il est plutôt super grâce à ma drey' (a). J'ai un niveau moyen en rp,et encore j'suis modeste. Le code du règlement est caché par màth, héhè.


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H. Màthylne Lehane
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❝ hello cold world ❞


◮◮◮ octobre 2023, Londres. j'entendais le bruit des sirènes de police, la foule s'évertuant à traverser encore et encore les rues pour se rendre à leur fatal destin, les voitures klaxonnaient, je pouvais même entendre les jurons des passants se bousculant. tous mes sens semblaient accrus, comme si je redécouvrais mes pouvoirs de tueuse. j'avais dix sept ans, ce jour là, et seule une bougie m'accompagnait pour fêter une année supplémentaire. une fois soufflée, je reprenais ma place, à la fenêtre, contemplant toutes ses vermines grouillant tel des cafards, s'infiltrant dans le moindre petit espace qu'il pouvait exister. il me dégoutait. la vie me chamboulait. j'avais envie de crier, crier si fort que la terre m'entendrait, et qu'elle m'avalerait, ainsi que le monde entier. car personne ne le méritait, ce cadeau qu'on appelait la vie. personne ne la méritait, non, et pourtant certains se battaient encore pour eux, les vermines. qui n'attendaient même pas que les ombres les détruisent, qui les précédaient, en se détruisant eux-même d'abord. je ne comprenais pas pourquoi nous devions encore nous battre, pour ces êtres inférieurs, qui nous tueraient à la moindre occasion, sans nous remercier de nos sacrifices. pourquoi n'avions pas le droit d'exister nous également ? d'un trait sec, j'engloutissais un verre d'un poison exquis, qui lui seul, m'aidait à supporter. armes en poche, je laissais ma chambre sordide d'un lugubre motel, pour rejoindre les ténèbres, une nouvelle fois. errant dans un cimetière, je pouvais voir quelques âmes égarées s'attardaient. je ne comprenais pas, ils étaient pourtant au courant, de ce monde mystique, des créatures maléfiques surgissant de leur tombe, ne souhaitant que s'abreuver de notre sang. ils étaient réels, et même si longtemps nous avions craint qu'il surgissent de sous notre lit, nous savions maintenant qu'ils pouvaient surgir de n'importe où. quelques minutes plus tard, les rues s'étaient vidés, seuls quelques drogués s'attardaient encore. j'errais, comme une vagabonde, sans but à atteindre, je patientais devant quelques tombes, histoire d'accomplir ce pourquoi j'avais été créer. sans surprise, certains morts se réveillèrent. je dégainais un pieu, mais laissais traîner la bagarre, histoire de me défouler, de me sentir vivante, car seule la douleur physique me rappeler que moi aussi, je faisais parti de ces vermines. que j'étais capable de saigner à mon tour, que j'étais capable de sentir. le soleil se levant, je rejoignais ma chambre, m'enfermant et me reposant le temps que le soleil se couche à nouveau. des cauchemars envahissaient mon sommeil, empêchant mon corps de retrouver du repos. la colère bouillonnait en moi, constamment, si bien que je ne pouvais pas trouver un peu de repos. mon corps convulsait doucement, mes mains tremblaient, mes yeux tourbillonnaient, alors que le bruit de mon vibreur sur mon téléphone, m'obligeais à les ouvrir brusquement. reprenant une respiration normal, je regardais la personne essayant de me joindre, et ne décrochais pas. ah les summers, ils n'abandonnent donc jamais. pensais je sarcastiquement. je m'autorisais à repenser quelques secondes à la jolie blonde, caelysia, fille de buffy summers, qui n'avait cessé de m'appeler depuis mon départ. mais ces quelques pensées réussirent à me mettre dans un état second, où la colère une nouvelle fois prenait la maitrise de mon corps. je m'habillais rapidement, me rendant compte que le soleil s’était déjà couché, et marchait quelques minutes, rentrant dans un bar, semblant peu fréquenté. il l'était bien plus que je ne le pensais, mais néanmoins il n'y avait pas non plus foule. je m'asseyais au bar, commandant mon poison habituel. le serveur hésitant quelques instants, pour finalement me demander ma carte d'identité. agacé, je lui en sortais une, fausse bien évidemment, mais réellement très bien faite. me souriant il m'en servit encore et encore, jusqu'à que mes souvenirs arrêtèrent d'envahir mon esprit. cette nuit là, les choses dégénérèrent. j'étais un véritable chantier, et ma santé mentale ne tenait qu'à un fil. un cadeau de ma mère, surement. je ne sais pas, j'avais peut être abusé sur l'alcool, ce soir là était le mauvais soir, et pourtant je n'arrive toujours pas à comprendre. mon esprit me jouait des tours, et certaines personnes semblaient en être d'autre. je suivis cet homme, sortant dans la ruelle. j'aurais pu jurer, que c'était lui, le démon, le tueur de ma mère. « ne mens pas ! je sais que tu l'as tué ! » ma vue se brouillait sous quelques larmes, alors que je visais cet innocent de mon arme. « tu vas me le payer. » je serrais la mâchoire, la folie emparant tout mon corps. lui restait interdit, et malgré que sa bouche bougeait, je ne comprenais pas un mot de ce qu'il disait. tremblant, j'actionnais la gâchette alors qu'un coup silencieux atteignait son cœur. lorsqu'il tomba à terre, je sus que j'avais fait une erreur. que ce n'était juste qu'un gars. je faillis échappé mon arme, et restait choqué, immobile. un bruis de pas me réveillait de ma torpeur, et je prenais la fuite en courant. je décidais de quitter londres, de quitter les autres affreux souvenirs que j’avais moi même fabriqué. j’atterrissais à madrid, mais n'y restait pas bien longtemps, car l'espagne n'était pas si belle que je ne le pensais. je reprenais donc l'avion pour finir à paris, où je m'y installais quelque temps. le meurtre que j'avais commis n'avait laissé aucune trace, enfin en apparence. je me comportais comme si cette nuit n'avait pas existé. c'était 'les risques du métier'. il n'était qu'un dommage collatéral, alors que je sauvais de nombreuses vies humaines. je me renfermais un peu plus sur moi même, devenant une sacrée peste. je ne voyais plus que mes propres intérêts, et ma conscience préférée se taire. je fis beaucoup de choses regrettables à cette époque, et je m'en foutais. j’avais abandonné, l'idée de me battre, de devenir meilleur, je ne voulais plus que servir mes intérêt et seulement eux. mais un soir, celui de mon dix-neuvième anniversaire, lorsque je rentrais à mon hôtel, je vis cette lettre, elle que ma mère m'avait laissée avant d'aller au combat, celle que je n'avais jamais ouverte. je voulus d'abord la déchirer, mais je m'en empêchais, et décidais de l'ouvrir.

❝ you're gone. i'm lost ❞


◮◮◮ octobre 2025, Boston. cette lettre m'avait bouleversé, m’avait chamboulé, si bien que j'avais décidé de revenir à mon pays natal. je ressentais le besoin de revenir aux sources, en l'espace de quelques secondes je n'étais plus la même. je réalisais tout ce que j'avais perdu, je réalisais qu'elle était morte, que ma mère était morte, ainsi qu'un tas d'autre personne, et que ceux qui restait sur cette terre souffraient, et je les avais lâchement abandonné. je me devais de revenir vers eux, la seule famille qui me restait. je ne m'attendais pas à un tel accueil, je pensais à quelque chose de froid, plein de regrets, et de colère, mais lorsque mes sacs touchèrent le sol, et que caelysia et les autre se retournèrent vers moi, je pus voir la jolie blonde se précipitait dans mes bras. je ne comprenais pas, pourquoi j'avais le droit à ça, je ne l'avais pas mérité, et pourtant ses gens étaient toujours là pour moi. quelques heures plus tard, alors que que le soleil se levait, je m’habillais de noir et me rendit au cimetière. je n'étais pas allé à l’enterrement, et je le regrettais sincèrement. dans ma belle robe noire, tenant une rose rouge, je m'agenouillais devant la tombe, laissant les larmes coulaient, alors que les mots de sa lettre raisonnaient dans mon esprit. je les laissais taillader mon cœur, elle était tout pour moi, et je l'avais perdu, j'étais moi aussi perdu. je laissais mes doigts trainaient sur le marbre, tout en entendant sa voix dans mon esprit. tu es parfaite. je t'aime, et t'aimerais toujours. ne l'oublie jamais. je laissais tombé ma main, mettant en place la rose, tout en fixant les inscriptions sur cette tombe. « je t'aime aussi, maman. » je ne serais dire combien de temps je suis resté là, pleurant immobile, me ressassant les souvenirs de son si jolie visage.

◮◮◮ juin 2029, Boston. le temps avait passé, mais j'apprenais que les blessures du passé ne se refermaient pas aussi facilement qu'on pourrait le souhaiter. je n'avais jamais parlé à personne de l'accident, qui s'était passé à Londres, des années auparavant. j'arrivais même à me convaincre parfois qu'il ne s'était rien passé, l'alcool seul me jouant des tours. j'étais obsédé par ce tragique évènement, d'avoir ôter une vie humaine de mes propres mains. je ne pourrais jamais m'en débarrasser, et je devais apprendre à vivre avec, je n’avais pas d'autre choix. je n'étais plus l'ombre que de moi même, je paraissais parfois.. vide. et je le sentais, ce vide en moi. je hantais les cimetières, accomplissent mon devoir, sans aucune satisfaction, comme un prisonnier dans le couloir de la mort. j'aurais aimé ne pas avoir cette vie, être une personne normale, avec une vie des plus basiques. et ne pas être obligé de me battre constamment contre le mal, de mettre ma vie en danger chaque soir, me sacrifier pour un monde qui me pourchassait. c'était pitoyable, et injuste. je n'avais pas pu avoir d'adolescence normal, ni d'enfance, je n'avais rien eu, de ce que les autres jeunes filles pouvaient profiter. je détestais ce monde. quelques temps plus tard, je rencontrais ce garçon, c'était bien la première fois que je m'attachais à quelqu'un du sexe opposé. je me l'étais interdit, je ne pouvais avoir de relation normal, sans que l'autre n'ait une épée de Damoclès au-dessus de la tête, alors je m'étais persuadée qu'il était comme les autres garçons, juste un coup comme ça. mais notre relation devint plus sérieuse, je pouvais le sentir, sans osé l'admettre. si elle l'était je devais lui avouer qui j'étais, et ça.. j'en étais incapable. notre relation était puissante, passionnée mais destructive aussi. nous étions rongé par la jalousie, la trahison, aucun de nous deux n'était prêt à accorder sa confiance, et cela nous détruisait, mais le soir, nous nous retrouvions à chaque fois, car rester séparer nous tuait à petit feu. mais un jour tout s'arrêta, brusquement. il me quitta, sans aucune explication, m'abandonnant. sans oser le dire, ceci me détruisit un peu plus intérieurement. le temps passa, et je le revus, lui, qui osai me sourire après ce qu'il m'avait fait traverser, mais je ne faisais que prétendre. prétendre qu'il n'avait jamais compté, qu'il ne comptait pas, que je m'en foutais totalement de son existence. cette petite tension est encore bien présence, accentué par les piques que nous ne pouvons pas nous empêcher de lancer. mais la vérité, est qu'il compte encore. et que je n'arrive simplement pas à l'oublier. mais le résultat est toujours le même de toute façon. je serais toujours dans ce cimetière le soir, seule.
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